Ce jardin du 6 mai
Lundi 10 Mai
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je suis tombé sur cet article , un des nombreux textes , ( innombrables)
faisant l’éloge de l’Homme d’Etat de la fin du 5è siècle av JC.
pour ma part
Ça fait bien 60 ans que la prétendue démocratie athénienne et le « grand » démocrate PERICLES me gonflent.
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Ils m’ont toujours gonflé.
pour des tas de raisons…
On peut en causer si ça vous dit
https://institut-iliade.com/pericles-vers-494-av-j-c-429-av-j-c/
https://www.wikiart.org/fr/egon-schiele
Self Portrait with Lowered Head – Egon Schiele
Egon Schiele
Naissance:12 juin 1890; Tulln an der Donau, AustriaDécès:31 octobre 1918; Vienna, AustriaNationalité:AustrianMouvement artistique:ExpressionnismeÉcole de peinture:Vienna SecessionGenre:nu, autoportraitDomaine:peinture, dessinInfluencé par:Gustav Klimt, Vincent van Gogh, Jan Toorop, Edvard Munch, Vassily KandinskyA influencé:Francis Bacon, Julian Schnabel, Max Oppenheimer, Expressionnisme, Néo-expressionnismeInstitution:Universität für angewandte Kunst Wien (Kunstgewerbeschule), Vienna, Austria, Akademie der Bildenden Künste Wien, Vienna, AustriaAmis et Collègues:Gustav Klimt, Oskar KokoschkaWikipédia:fr.wikipedia.org/wiki/Egon_Schiele
Article Wikipedia Les références Egon Schiele est un peintre, un poète et un dessinateur autrichien, né le 12 juin 1890, à Tulln an der Donau près de Vienne, et mort le 31 octobre 1918, à Vienne. À la naissance d’Egon, la famille Schiele loge dans un immeuble situé près de la gare de Tulln. Le père, né à Vienne, est chef de gare. Son propre père, pionnier de la construction des chemins de fer, avait participé à la réalisation de la ligne ouest entre Prague et Cheb. La mère d’Egon, née Soukupova en 1861, à Krumlov, est issue d’une famille de paysans et d’artisans de la Bohême-du-Sud. Egon grandit auprès de ses deux sœurs, Mélanie et Gerti — l’aînée, Elvira, étant décédée en 1893, à l’âge de dix ans. Dès l’enfance, Egon Schiele marque un vif intérêt pour le dessin, auquel il s’exerce régulièrement. Sa scolarité se déroule successivement à l’école primaire de Tulln, au collège de Krems an der Donau et au lycée de Klosterneuburg. Dès 1905, année de la mort de son père, il exécute ses premières peintures, notamment des autoportraits. La mort de son père ternit sa jeunesse et lui donne une vision du monde sombre et torturée. Son oncle, ingénieur et inspecteur supérieur des Chemins de fer d’État, devient alors son tuteur. S’appliquant à respecter les intentions du père d’Egon, il tente, sans succès, d’orienter le jeune garçon vers une carrière dans les chemins de fer, à l’École Polytechnique supérieure. Cependant, avec l’accord de sa mère et l’appui de son professeur de dessin, Schiele entre en 1906 à l’Académie des Beaux-Arts de Vienne. Il y apprend la peinture générale auprès du professeur Christian Griepenkerl, peintre académique conservateur. La relation entre les deux hommes s’avère difficile : Schiele, ne pouvant plus supporter la tutelle académique de ses maîtres, quitte l’Académie, suivi d’amis partageant les mêmes convictions. Il fonde alors le Neukunstgruppe (Groupe pour le nouvel art), se faisant ainsi remarquer par Arthur Roessler, critique d’art du Journal ouvrier, qui devient durant les années suivantes son principal protecteur. Parmi les membres de ce groupe se trouvent différents amis rencontrés à l’Académie : Anton Peschka, Anton Faistauer, Anton Kolig, Robin Christian Andersen, Franz Wiegele. Leur amitié jalonne la vie de Schiele : chacun appuie l’autre pour promouvoir les premières œuvres des autres. Peschka épouse en 1914 une des sœurs d’Egon, Gerti. Schiele découvre à Vienne un art différent lors d’une exposition d’artistes… Lire la suite »
Bonjour
C’est curieux…J’ai regardé un peu de ses productions, et d’une
manière contemporaine, nettement plus édulcorée on dira, ça me fait
penser à Milo Manara.
Pourquoi y a t il des barrures sur « naissance, décès » etc…?
Le 11 Mai 1940
Les Allemands approchent les positions britanniques et françaises qui sont maintenant fortement tenues. Eben Emael tombe aux mains des Allemands après avoir résisté en vain.
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Dessin panoramique montrant l’assaut d’un planeur sur un groupe armé
Eben-Emael, publié au cours de la Seconde Guerre mondiale, 2, dans la
presse promouvant le succès des armes allemandes (1 – bâtiments en bois,
2 – Non-111, larguant un conteneur de ravitaillement, 3 – Planeur
DSF230 lors de l’atterrissage, 4 – objet d’artillerie, 5 – tour blindée
d’art, 6 – structure en bois, 7 – MICA, 8 – objet mitrailleuse, 9 – faux
objet, 10 – canal Albert, 11 – X-mur, 12.
https://fr.topwar.ru/24405-zahvat-nemeckimi-parashyutistami-forta-eben-emael.html
Enfants j’ai souvent été le témoin de conversations curieuses.
C’était un monde très différent. Il n’y avait pas de télé et les gens pratiquaient avec passion un rite social : le banquet d’association.
À dire vrai ils avaient plaisir à se retrouver ensemble
Des banquets de comités des fêtes, des anciens combattants, les
kermesses avec défilé, les carnavals fleuris, les amicales de ceci ou
cela …Et à chaque fois , au coeur de la fête, la grande bouffe ,
Une bouffe énorme
Mes parents y faisant des extras au service j’en étais et je trainais au milieu des tables et des conversations…
Bien sûr à chaque fois il y avait le quota de viande saoule et les
malades à la suite de concours très étranges: les concours de bouffe.Il y
avait des champions de ce « sport là ». On les faisait parfois venir de
loin avec repas gratis pour égayer les fins de repas.
Mais ce qui m’intéressait le plus c’était les conversations;
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Elles étaient principalement de deux genres.
La guerre et le cul.
Mes deux grand-pères mort de la Première, mon père blessé avant la
deuxième, la guerre était un sujet ignoré de la table familiale.
J’en éprouvais le manque.
Aussi je ne laissais rien passer des débats sur la deuxième WW , des
souvenirs et légendes sans fin qui duraient souvent jusqu’à la nuit
tombante, entretenus pas les cafés servis en continu tout comme l’eau
de vie .
Une constante liée à ces souvenirs et discussions ne laissait pas de m’intriguer;
Pour moi ils étaient tous vieux mais il y avait deux groupes .
Les vieux et les plus vieux.
C’est en brassant et triant plus tard dans ma mémoire intacte que j’appris à les classer .
Ceux de la Première
Ceux de la Seconde.
Et les conversations qui débutaient dans la chaleur de la convivialité
de banquets arrosés finissaient souvent , très souvent, dans l’amertume
de moqueries lancées par les uns et reçues par les autres.
L’eau de vie aidant , les plus vieux ne laissaient jamais passer
l’occasion de rappeler « aux moins vieux » qu’ils avaient été battus et
…….
Pour faire bref..
Ils s’étaient laissés battre .
Longtemps j’ai cherché à comprendre.
Car il y avait de l’injustice dans ce mépris..
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Dans ce début des années 50 , on ignorait les chiffres , ce qui étaient d’un grand secours pour en inventer et les asséner à des gens qui ne pouvaient même pas en produire pour se défendre.
Au sol, sur cette période, la France paie le tribut de
- 342 000 soldats hors de combats (92 000 morts et 250 000 blessés),
- 2500 chars et
- 900 avions.
L’armée Allemande déplore la perte de
- 160 000 soldats (49 000 morts et 111 000 blessés),
- 1800 Panzers et
- la Luftwaffe déplore la perte de 1400 avions.
Face à ces pertes, la force d’invasion massive nécessaire à l’invasion de la Grande-Bretagne n’existe plus.
A titre de comparaison, les cinq premiers mois de combats sur le front Russe (en 1941) coûtent à l’Armée Allemande
- 219 000 soldats (71 000 soldats tués et 148 000 soldats blessés),
- 1300 Panzers et 660 avions.
Nous sommes donc loin de la débandade décrite par certains historiens.
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Il n’est pas inutile de comparer le rythme des hécatombes.
Les troupes allemandes accusent proportionnellement moins de pertes en 5
mois sur le front russe que sur le Front français en 1 mois 1/2
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Il n’est pas inutile de rappeler que les morts de la débâcle sont aussi nombreux que les pertes mensuelles de Verdun.
https://theatrum-belli.com/histoire-chronique-culturelle-du-12-mai/
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La revue évoque aujourd’hui les combats de Hannut du 12 Mai 1940.
Brève chronique associée à un commentaire contradictoire..
Ça fait longtemps que je n’en dis plus un mot …mais …
Je persiste à condamner l‘attitude de ZXSpect qui continue vaille que vaille à entretenir la fiction d’une opposition entre le VIVIFF Gang et la direction de Maboul.
Une fiction qui en alimente une autre : celle d’un forum citoyen où la liberté d’expression démocratique aurait régné dans un passé légendaire totalement irréel
J’ai piqué ça je ne sais plus où.
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Dans une lettre adressée au cardinal Farnèse le 20 septembre 1544, Giovanni della Cara confesse au sujet d’une Danaé commandée par Ottavio Farnèse à Rome :
- « Titien a presque terminé un nu qui risquerait d’éveiller le démon chez le cardinal San Silvestro. Le nu que Monseigneur a vu à Pesaro dans les appartements de Monsieur le duc d’Urbino [la Vénus d’Urbino], est une religieuse à côté d’elle» (ill. 18).
Selon Jacqueline Lichtenstein,
- « le plaisir de la couleur est un plaisir de l’œil ; il l’est même au suprême degré. Mais, dans la mesure où il naît du spectacle de la chair, il s’exprime d’emblée sous la forme d’un désir de toucher qui jamais ne franchit la limite que l’ordre de la représentation lui impose. […] L’émotion soulevée par l’imitation réussie des chairs fait vaciller la perception entre la surprise et la caresse, donnant au regard une sensibilité en quelque sorte hallucinatoire : la vue devient alors comme un toucher».
Cependant, conférer aux couleurs peintes les qualités tactiles et
sensuelles de chairs réelles, parvenir à rendre tangibles leur
frémissement et leurs vicissitudes, entraîne un émerveillement qui n’est
pas tant un désir de toucher qu’un désir de voir. Cette perfection de
la peinture, selon les mots du temps, relève d’un artifice rare qui
préoccupe peintres et théoriciens.
ill. 18 Titien, Danaé, 1545-1546, huile sur toile, 120 × 146 cm, Naples, musée de Capodimonte, inv. CSE-S-000416-9623
Il s’agit, d’une certaine manière, d’essayer de rendre intelligible la beauté arbitraire avec laquelle les maîtres ont conçu dans leur esprit la nature en représentation. Cette conception du coloris, si elle culmine dans la touche apparente de Chardin, magnifiant dans l’exemple retenu les nuances de peau et de chair des prunes, la transparence de l’eau, l’éclat de reflets dans le verre d’une carafe et l’opaque d’un fond indéfini (ill. 22) ainsi que dans les commentaires de Diderot adressés à un lectorat confidentiel et tentant vainement de décrire ses tableaux, n’est cependant pas univoque.
Elle demeure une beauté arbitraire, acceptée ou refusée, qui émeut ou ne touche pas.
Par rapport au dessin d’essence intellectuelle qui permet d’inscrire la narration dans la représentation, l’ekphrasis dénonce la beauté qui s’adresse à la vue et aux sens.
Elle est ainsi pour Poussin une beauté de masque et de déguisement, un « leurre pour les yeux » selon ses mots rapportés par Bellori, certes après qu’il a lui aussi copié à Rome les Bacchanales de Titien, mais parvenant davantage à des chairs de marbre au regard de Roger de Piles.
ill. 22 Jean-Baptiste Chardin, Nature morte aux prunes, v. 1730, huile sur toile, 45 × 50 cm, New York, The Frick Collection, inv. 1945.1.152
Les deux commentaires sont issus de :
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Beautés arbitraires
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Isabelle Tillerot
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